Un atelier de renforcement des capacités, à l’intention des journalistes et des membres de la Haute autorité des médias et de l’audiovisuel (HAMA) s’est ouvert ce mardi 27 mai 2025 à N’Djamena.
La cérémonie d’ouverture a été marquée par l’intervention de Mme Madjiguène Thiam, coordinatrice du Projet d’appui au parlement et aux processus électoraux (PAPPE), mis en œuvre par le Centre européen d’appui électoral (ECES), avec le soutien financier de l’Union européenne.
Dans son allocution de circonstance, Mme Thiam a rappelé les objectifs du PAPPE, qui s’inscrit dans une dynamique de renforcement de la gouvernance démocratique au Tchad. Le projet vise à appuyer les institutions et les acteurs clés, dont les médias, dans leur rôle fondamental de consolidation des libertés publiques.
Elle a souligné le rôle crucial des médias dans la bonne gouvernance, notamment à travers l’information, la sensibilisation, l’éducation et la transparence, en particulier en période électorale. « Les médias doivent couvrir les élections de manière objective, en respectant la liberté d’expression et en garantissant que tous les partis et candidats soient entendus », a-t-elle précisé.
Dans cette perspective, le PAPPE prévoit un accompagnement de la HAMA sur deux ans, axé sur le renforcement du professionnalisme, le respect de la déontologie, l’approche droits humains et genre, la communication et la mémoire institutionnelle.
Avant de lancer la formation, le deuxième rapporteur de la HAMA, Ngarmagué Jean-Pierre, a déclaré que « la presse, censée éduquer, former et divertir, souffre malheureusement, comme dans tous les pays, de différents maux, dont le plus récurrent est le manque de formation de base ». Le paysage médiatique tchadien, en constante évolution depuis les années 1990, nécessite une compréhension approfondie de son cadre juridique. L’atelier permettra aux participants de revisiter les textes législatifs, les normes déontologiques et les mécanismes de régulation régissant le secteur.
Plusieurs thématiques seront abordées, notamment la création et le financement des médias, la régulation et l’autorégulation, les obligations éthiques des journalistes et la gestion des contentieux liés à la presse. La méthodologie adoptée est participative, combinant présentations, échanges d’expériences et études de cas, dans le but de favoriser des discussions concrètes et utiles, adaptées à la réalité quotidienne du secteur.
En conclusion, Mme Thiam a remercié l’Union européenne pour son appui financier, et a invité les participants à profiter pleinement des trois journées de formation pour renforcer leurs connaissances et pratiques professionnelles. Cet atelier s’inscrit dans une démarche d’amélioration continue de l’environnement médiatique au Tchad, dans le respect des rôles et responsabilités de chacun.
La cérémonie d’ouverture a été marquée par l’intervention de Mme Madjiguène Thiam, coordinatrice du Projet d’appui au parlement et aux processus électoraux (PAPPE), mis en œuvre par le Centre européen d’appui électoral (ECES), avec le soutien financier de l’Union européenne.
Dans son allocution de circonstance, Mme Thiam a rappelé les objectifs du PAPPE, qui s’inscrit dans une dynamique de renforcement de la gouvernance démocratique au Tchad. Le projet vise à appuyer les institutions et les acteurs clés, dont les médias, dans leur rôle fondamental de consolidation des libertés publiques.
Elle a souligné le rôle crucial des médias dans la bonne gouvernance, notamment à travers l’information, la sensibilisation, l’éducation et la transparence, en particulier en période électorale. « Les médias doivent couvrir les élections de manière objective, en respectant la liberté d’expression et en garantissant que tous les partis et candidats soient entendus », a-t-elle précisé.
Dans cette perspective, le PAPPE prévoit un accompagnement de la HAMA sur deux ans, axé sur le renforcement du professionnalisme, le respect de la déontologie, l’approche droits humains et genre, la communication et la mémoire institutionnelle.
Avant de lancer la formation, le deuxième rapporteur de la HAMA, Ngarmagué Jean-Pierre, a déclaré que « la presse, censée éduquer, former et divertir, souffre malheureusement, comme dans tous les pays, de différents maux, dont le plus récurrent est le manque de formation de base ». Le paysage médiatique tchadien, en constante évolution depuis les années 1990, nécessite une compréhension approfondie de son cadre juridique. L’atelier permettra aux participants de revisiter les textes législatifs, les normes déontologiques et les mécanismes de régulation régissant le secteur.
Plusieurs thématiques seront abordées, notamment la création et le financement des médias, la régulation et l’autorégulation, les obligations éthiques des journalistes et la gestion des contentieux liés à la presse. La méthodologie adoptée est participative, combinant présentations, échanges d’expériences et études de cas, dans le but de favoriser des discussions concrètes et utiles, adaptées à la réalité quotidienne du secteur.
En conclusion, Mme Thiam a remercié l’Union européenne pour son appui financier, et a invité les participants à profiter pleinement des trois journées de formation pour renforcer leurs connaissances et pratiques professionnelles. Cet atelier s’inscrit dans une démarche d’amélioration continue de l’environnement médiatique au Tchad, dans le respect des rôles et responsabilités de chacun.